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Livres

jeudi 16 novembre 2017

L’AUBE SERA GRANDIOSE : PREMIER PRIX VENDREDI

Le 9 octobre dernier, L’Aube sera grandiose , le dernier roman d’Anne-Laure Bondoux, a été récompensé par le premier Prix Vendredi.

Le prix Vendredi est un nouveau prix littéraire, organisé par le groupe jeunesse du Syndicat National de l’Édition, qui décerne, au moment de la rentrée littéraire, un prix au meilleur roman pour adolescents (plus de 13 ans).

Nommé en hommage à Vendredi ou la vie sauvage de Michel Tournier, ce prix a pour objectif de "mettre en valeur la richesse et la créativité de la littérature pour la jeunesse française contemporaine pour les adolescents".

Ses fondateurs espèrent même qu’il soit considéré comme un équivalent du Prix Goncourt pour la littérature jeunesse adolescente.

L’Aube sera grandiose : Prix Vendredi 2017

Ce soir, Nine, seize ans, n’ira pas à la fête de son lycée. Titania, sa mère, en a décidé autrement. Elle embarque sa fille vers une destination inconnue, une cabane isolée, au bord d’un lac. Il est temps pour elle de lui révéler l’existence d’un passé soigneusement caché. Commence alors une nuit entière de révélations... Qui sont Octo, Orion et Rose-Aimé ? A qui appartient cette mystérieuse cabane ? Et ce vélo rouge, posé sous l’escalier ? Au fil d’un récit souvent drôle, parfois tragique et bouleversant, Nine découvre un étonnant roman familial. Quand l’aube se lèvera sur le lac, plus rien ne sera comme avant.

L’aube sera grandiose est un livre magnifique, qui traite des relations mère-fille, sous fond de secrets de famille. Ce roman, absolument magistral, est pour nous un très gros coup de cœur.
Nous avons plongé avec bonheur dans cette histoire très visuelle ; nous étions presque comme au cinéma, happés par le film se déroulant sur l’écran. Les phrases d’Anne-Laure Bondoux sont puissantes, ses images évocatrices, ses personnages incarnés. Nous étions aux côtés de Nine, suspendus aux lèvres de Titania. Pris dans un suspense implacable, nous n’avons pas pu lâcher la lecture de ce récit avant sa toute dernière page !

Face aux autres romans sélectionnés, d’excellent niveau, L’Aube sera grandiose a su néanmoins se démarquer, et s’impose à coup sûr comme l’un de meilleurs romans ados de cette année.


Le jury du prix Vendredi a cependant attribué des mention spéciales à deux romans :


Naissance des cœurs de pierre d’Antoine Dole

Dans quelques jours, Jeb va entrer dans le Programme. C’est la loi du Nouveau Monde : à douze ans, chaque enfant de la Communauté doit commencer un traitement qui efface toutes les émotions. Mais ça, Jeb ne peut s’y résoudre. Nouvelle au lycée, Aude subit tous les jours les moqueries de la part des autres élèves et trouve refuge dans les bras de Mathieu, un surveillant. Ce premier amour fait naître en Aude des sentiments aussi intenses que dévastateurs tandis que, sans le savoir, elle vit les derniers jours de l’Ancien Monde. Deux personnages brutalement arrachés à l’enfance. Deux destins mystérieusement liés...


Colorado train de Thibault Vermot

Durango, 1949. La poussière rouge. L’Amérique profonde, à peine sortie de la deuxième Guerre. C’est dans ce monde-là que grandissent Michael et ses copains. Durham et George passent des journées à construire une fusée ; le gros Don s’efforce d’échapper aux brutes du collège, tandis que Michael consigne les aventures de la bande dans son Cahier. L’enfance, les jeux, les rêves comme une marmite cuisant au soleil de juillet... Jusqu’au jour où un gosse de la ville disparaît. Avant d’être retrouvé, quelques jours plus tard, à moitié dévoré. Aussitôt, les cinq copains décident d’enquêter. Dans l’ombre, le tueur - la Chose ? - les regarde s’agiter. Et bientôt, les prend en chasse.


La sélection comportait aussi ces autres titres :


La loi du Phajaan de Jean-François Chabas

Dans la famille de Kiet, on est dresseur d’éléphants de père en fils. Le jour de ses dix ans, Kiet part avec son père et des chasseurs pour capturer son premier éléphanteau. Pendant plusieurs jours, l’enfant participe au "Phajaan", une méthode de dressage traditionnelle particulièrement cruelle qui marquera à jamais le jeune garçon...






Magnetic Island de Fabrice Colin

Cyan, 16 ans, est le fils d’Artus Fisher, célèbre réalisateur. Il vit en Australie dans la villa de son père en compagnie de Senior, son grand-père, et de Divine, sa grande soeur de 18 ans. La vie de Cyan, en dépit des apparences, est loin d’être idyllique. Sa soeur jumelle, Holly, a disparu alors qu’elle n’avait que 12 ans, sur Magnetic Island. Sa mère, France, a quitté son père trois ans auparavant, et vit désormais avec son avocat. Senior est devenu un gros consommateur de drogues à la mort de son épouse. Artus n’est jamais là, cela fait cinq ans qu’il essaie de boucler un film pour lequel son studio a déjà dépensé des millions de dollars. Alors, quand Divine disparaît, elle aussi, Cyan décide de tout faire pour la retrouver. Il n’a qu’une crainte, c’est qu’elle subisse le même sort que Holly, dont personne ne parle jamais et dont toutes les photos ont été arrachées des albums de famille.

Rage d’Oriane Charpentier

"Rage"... C’est le surnom que son amie lui a donné. C’est désormais ainsi qu’elle se nomme, pour oublier son nom d’avant, celui de son enfance, d’avant l’exil, la déchirure. Rage a eu affaire à la violence des hommes, de la guerre. Et la voilà réfugiée en France, seule, sans aucun repère. Telle une bête traquée, elle se méfie de tous. Une nuit, sa route croise celle d’un chien, apparemment dangereux, blessé, maltraité. Le sauver devient une nécessité...




Power club 1. L’apprentissage d’Alain Gagnol

Anna n’est pas née sur Krypton, pourtant elle s’apprête à devenir une super-héroïne. Jeune et riche, elle répond aux critères du Power Club ! Les termes du contrat sont les suivants : on lui inocule des boosters, une technologie de pointe qui la rend en quelques jours surhumaine, elle entre dans la légende aux côtés des huit super-héros déjà célèbres. En échange, elle se doit d’incarner le rêve absolu, de vendre son image aux médias, aux plus grandes marques. Et, accessoirement, elle est libre de sauver le monde.




Dans la forêt de Hokkaido d’Eric Pessan

Les anges gardiens n’existent pas qu’en rêve, le saviez-vous ? Lorsque Julie plonge dans le sommeil, son monde bascule. L’adolescente se retrouve dans la forêt de l’île japonaise d’Hokkaido, reliée physiquement à un petit garçon de sept ans. Abandonné par ses parents, il erre seul, terrifié, et risque de mourir de froid, de soif et de faim. Quel est le lien entre Julie et l’enfant perdu ?




Star Trip d’Eric Senabre

Eté 1968, USA. La jeune et bouillonnante May se morfond dans un coin perdu de l’Idaho. Pour ne rien arranger, elle doit s’occuper seule de son petit frère Sam, handicapé et fou de science-fiction. Pourtant, un matin, tout bascule. L’idole de Sam, le "capitaine Burke" de Ia série culte Star Trip, débarque dans leur ferme sans crier gare. Le garçon n’en croit pas ses yeux. Quant à May, elle se demande bien pourquoi l’acteur insiste autant pour les entrainer dans une folle équipée. Et si c’était, malgré tout, le moyen d’échapper aux champs de patates et aux sermons ? Un sorcier indien, un shérif acharné et des joyeux dingues en série... C’est le début d’un road trip mouvementé et psychédélique !


Sirius de Stéphane Servant

Alors que le monde se meurt, Avril, une jeune fille, tente tant bien que mal d’élever son petit frère, Kid. Réfugiés au cœur d’une forêt, ils se tiennent à l’écart des villes et de la folie des hommes... jusqu’au jour où le mystérieux passé d’Avril les jette brutalement sur la route. Pourchassés, il leur faut maintenant survivre dans cet univers livre au chaos et à la sauvagerie. Mais sur leur chemin, une rencontre va tout bouleverser : Sirius. Avec ce road trip post-apocalyptique, Stéphane Servant signe un grand roman d’aventure, brut et haletant.




Tous ces livres sont d’excellents romans pour adolescents. Nous avons personnellement tout particulièrement apprécié Colorado train , un roman qui joue avec nos peurs et nous rappelle Stephen King, Rage, un livre fort et poignant, Naissance des cœurs de pierre, une dystopie qui s’avère très surprenante, Dans le forêt de Hokkaido un roman fantastique hors du commun et très poétique, ainsi que Star Trip, un road trip plein d’humour.

Vous pouvez tous les empruntez à la médiathèque, alors n’hésitez pas à les découvrir !

Anne-Laure Bondoux

L’aube sera grandiose est aussi le tout dernier cru d’Anne Laure Bondoux, une auteure incontournable de la littérature contemporaine française pour adolescents.
Nous avons eu la chance de l’inviter à Meyzieu en 2016 pour plusieurs rencontres scolaires exceptionnelles.


Anne-Laure Bondoux écrit en grande majorité des romans à destination des adolescents (bien qu’ils plaisent aussi plus largement aux adultes !).

On vous recommande notamment son avant dernier roman ados Tant que nous sommes vivants .

Bo et Hama travaillent dans la même usine. Elle est ouvrière de jour, lui, forgeron la nuit. Dès le premier regard, ils tombent follement amoureux. Un matin, une catastrophe survient et ils doivent fuir la ville dévastée. Commence alors pour eux un fabuleux périple à travers des territoires inconnus... Mais quand l’ombre a pris la place de la lumière, l’amour suffit-il à nous garder vivants ?

Tant que nous sommes vivants se lit comme un roman d’aventure, une quête initiatique dans un monde sombre et mystérieux, un univers hors du temps, légèrement fantastique. Un des plus beaux livres de cette auteure.


Anne-Laure Bondoux a aussi écrit Les larmes de l’assassin , adapté par la suite en bande dessinée.

L’homme et la femme Poloverdo avaient un enfant qui poussait comme le reste sur cette terre, c’est-à-dire pas très bien. Il passait ses journées à courir après les serpents. Il avait de la terre sous les ongles, les oreilles décollées à force d’être rabattues par les rafales de vent, et s’appelait Paolo. Paolo Poloverdo. C’est lui qui vit venir l’homme, là-bas, sur le chemin, par un jour chaud de janvier. Cette fois-là, ce n’était ni un géologue, ni un marchand de voyages, et encore moins un poète. C’était Angel Allegria. Un truand, un escroc, un assassin.

Un beau roman, tendre et dur à la fois, avec des personnages très attachants. Une belle histoire d’amitié et de besoin de liberté.


Enfin, on vous recommande La vie comme elle vient .

Après la mort de leurs parents, le juge des tutelles confie la garde de Mado, 15 ans, à sa sœur Patty, 20 ans. Mais Patty attend un bébé et si le juge des tutelles apprend la nouvelle, Mado part dans un foyer. Et ça, il n’en est pas question.

La Vie comme elle vient est un joli roman, crédible, sensible et émouvant, que l’on dévore d’une traite en s’attachant aux personnages, en souriant souvent, avec parfois une larme au coin de l’œil !


Anne-Laure Bondoux a aussi co-écrit avec son complice Jean-Claude Mourlevat un excellent roman à destination des adultes, véritable feel-good book qui donne le sourire, voire fait rire aux éclats :


Et je danse aussi

La vie nous rattrape souvent au moment où l’on s’y attend le moins. Pour Pierre-Marie, romancier à succès (mais qui n’écrit plus), la surprise arrive par la poste, sous la forme d’un mystérieux paquet expédié par une lectrice. Mais pas n’importe quelle lectrice ! Adeline Parmelan, « grande, grosse, brune », pourrait bien être son cauchemar... Au lieu de quoi, ils deviennent peu à peu indispensables l’un à l’autre. Jusqu’au moment où le paquet révèlera son contenu, et ses secrets...




Anne-Laure Bondoux a écrit bien d’autres livres, de grande qualité, à découvrir absolument (tous disponibles à la médiathèque) !



(Cindy)

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mercredi 8 novembre 2017

OBJECTIF ZERO DECHET

A la Médiathèque de Meyzieu, nous attachons beaucoup d’importance au développement durable, et notamment à la tendance Zéro déchet.

C’est aussi un intérêt très personnel pour moi, qui a commencé aux États-Unis, où je vivais à l’époque.
On y projetait alors le film Bag it dont voici la bande-annonce :



Même si vous ne comprenez pas l’anglais, vous aurez remarqué que ce documentaire traite de l’omniprésence du plastique dans nos vies et des déchets qu’il génère.
Il suffit parfois d’un film, d’une conversation ou d’un livre pour vous ouvrir les yeux sur un sujet.

Cette prise de conscience, et l’envie d’agir qui en découle, s’alimente ensuite avec d’autres documents que je vous conseille et que vous pourrez emprunter à la médiathèque (en français !) :

Plastic Planet / réalisé par Werner Boote, Editions Montparnasse, 2011.

Commode et bon marché, le plastique est devenu incontournable dans notre vie quotidienne. Tous les secteurs de l’industrie mondiale en dépendent aujourd’hui, d’une manière ou d’une autre. Il est présent partout. Pourtant, le plastique est devenu un danger global, tant pour l’homme que pour la planète, symbole de surconsommation et de pollution à grande échelle.

Que faire alors ? Car on se rend vite compte qu’il est difficile de trouver des produits sans emballages plastique. On a ainsi l’impression de ne plus pouvoir acheter grand chose. Et c’est là qu’intervient le défi du zéro déchet !

Qu’est-ce que le zéro déchet ? C’est limiter au maximum la taille de sa poubelle en faisant des choix de consommateur éclairé, responsable et économe. Car oui, 15 à 30 % du prix des produits que l’on achète correspond à l’emballage. Pour vous guider, comme moi, dans cette démarche écologique et économique, vous pouvez lire :

Zéro déchet  / Béa Johnson, Éditions Les Arènes, 2013.

Béa Johnson nous explique comment elle et sa famille ont maintenu leur style de vie tout en ne produisant quasiment aucun déchet. Ils ont réduit leurs dépenses annuelles de 40%, et n’ont jamais été en aussi bonne santé, à la fois physiquement et émotionnellement.





Famille presque zéro déchet : Ze guide et Les zenfants presque zéro déchet : Ze mission

Ces deux livres sont actuellement des best seller dans le genre, très appréciés pour leur analyse théorique et leurs défis pratiques.





Plus récemment, une Majolane, Lisa Masset, a écrit un livre de recettes alimentaires et créatives sur ce même sujet :

Zéro déchet, zéro gaspi : Les merveilles créatives du recyclage alimentaire

Nous l’avons donc invitée, ainsi que la blogueuse Tiphaine Guillermou de Tiff in Lyon, le samedi 18 novembre au centre social et culturel René Cassin pour une rencontre qui sera certainement passionnante !

Elles nous présenteront leurs parcours, le déclic d’un engagement zéro déchet et pourquoi partager sa démarche. Ce sera l’occasion tous ensemble de partager des bons plans pour réduire notre impact environnemental.



Bel hasard du calendrier, notre action inaugure la semaine Européenne de réduction des déchets, conduit par l’ADEME, dont voici une vidéo amusante :


Alors, prêt pour l’objectif zéro déchet ? !

Karine

  • Voir en ligne : Plus d’infos sur l’événement du 18 novembre
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    mardi 27 juin 2017

    LE LAND ART

    Le Land Art est une forme d’art contemporain qui a débuté au début des années 60 aux États-Unis.

    Avec les artistes du land art, la nature n’est plus simplement représentée : c’est au cœur d’elle-même (in situ) que les créateurs travaillent. Ils veulent quitter les musées et les galeries, avec leurs tickets d’entrée et heures d’ouverture, afin de véritablement « sortir des sentiers battus ».
    L’œuvre ne doit plus être une valeur marchande vouée à une élite mais une véritable expérience liée au monde réel.
    Les artistes utilisent des matériaux naturels (bois, terre, pierres, sable, rocher, etc.) et le plus souvent dans des endroits tels que des déserts, des forêts, des plages…

    Deux notions intéressantes du land art sont celles de l’éphémérité et celle de l’écologie. En effet, l’œuvre subit des transformations : l’érosion et à plus ou moins longue échéance la disparition de l’œuvre. C’est donc la photographie ou la vidéo qui vont permettre de faire connaître et perdurer les créations.

    Malgré tout, dans les années 1970, certaines œuvres intègrent les musées et expositions, d’abord par l’image puis par des installations dans les espaces intérieurs.

    Quelques œuvres

    View , Nicole DEXTRAS, 2007. Toronto (Canada)

    Sa démarche :
    View est une installation de lettres en glace mesurant 2 mètres de haut située sur la rive du lac Ontario près de la ville de Toronto. Construites à partir de coffrages de bois remplies d’eau du lac, elles gèlent au froid naturel des hivers canadien pendant deux semaines.
    Une fois les formes enlevées, la glace tiens sa forme mais soumise aux caprices de la nature fond peu à peu, ne laissant aucune trace. Le mot View (n. Vue) choisi pour ce projet reflète notre regard urbain sur le paysage, notamment dans le contexte de l’architecture de condominium où la vue est à vendre.






    The Greenhouse , François FRECHET, 2009, I-Park (Connecticut, USA).

    Sa démarche :
    François Frechet explique sa démarche : "Le projet The Greenhouse, est un travail qui veut mettre en valeur la flore sauvage de votre parc, et parler de biodiversité.
    En fait cette structure va devenir verte, au travers de la pousse des graines que j’ai semées. Mais j’espère que le vent ou les oiseaux vont apportés beaucoup de graines sauvages au printemps. Et peut-être, plusieurs insectes construiront leurs nids à l’intérieur.
    C’est une installation qui pourrait évoluer au cours des saisons.
    Le paysage ne peut être réduit à sa seule valeur économique ou utilitaire pour nourrir, vêtir, abriter, chauffer l’être humain. Il contient cette biodiversité qui le fait exister.
    "



    Série les écologiques, Zoomorphie , Vincent LERAY, Corse.

    Sa démarche :
    Depuis le milieu des années 90, Vincent Leray développe une œuvre qui tisse des rapports singuliers avec le monde maritime. Sa production artistique se nourrit d’une mémoire collective ou d’une histoire personnelle avec les milieux du littoral.
    Son vocabulaire plastique, marqué par une approche conceptuelle, se décline autour d’un élément emblématique : l’empreinte géométrique d’un motif étoilé ciselé en creux ou en relief sur la structure calcaire des oursins.
    À l’origine d’un projet, il est toujours question d’observer une situation en visant des enjeux ethnologiques, poétiques ou critiques de l’environnement marin. Le déplacement physique, le voyage, la notion d’espace et de temps ont contribué à développer une pratique photographique autour du paysage littoral. Sensible aux mouvements absurdes du monde, à l’intensification des activités humaines qui dégradent les écosystèmes marins, le projet soulève les questions écologiques de notre temps.

    Quelques réalisations plus modestes













    Le land art avec les enfants















    Vous l’aurez compris le land art est à la portée de tous, de tous âges, pour toutes les bourses et n’importe où… Ce qui en fait une activité idéale et merveilleuse surtout à l’approche des vacances !

    Pour enrichir votre imagination vous pouvez consulter le site www.landarts.fr qui est une ressource incontournable sur le land art…

    Vous pouvez également venir à la médiathèque pour emprunter ces livres :

    Bonnes vacances et belles créations « nature » !

    (Véro)

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